Pergunta no Quaid'Orsay
- (Le porte-parole de l'opposition au Zimbabwe a été grièvement blessé à la tête dimanche par des agents de la sécurité à l'aéroport d'Harare. Le chef du parti, Morgan Tsvangirai, a été lui-même victime de la répression. La France est-elle favorable à de nouvelles sanctions ? Craignez-vous désormais pour la vie des dirigeants de l'opposition ?)
Resposta
- Nous restons très préoccupés par ces nouveaux actes de violence à l'encontre des responsables de l'opposition. Il revient aux autorités du Zimbabwe de faciliter l'expression démocratique des partis d'opposition ainsi que la liberté de circulation de leurs responsables.
Nous suivons de très près la situation sur le terrain. Notre ambassadeur a pu se rendre, la semaine dernière, en compagnie de ses collègues allemand et italien, au chevet de M. Morgan Tsvangirai et de plusieurs de ses compagnons.
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