La France salue la ratification du Traité de Lisbonne par le Parlement suédois hier soir. Cette nouvelle ratification est un signal très positif dans la perspective du Conseil européen de décembre qui doit définir une feuille de route sur la question institutionnelle. Elle est un nouveau témoignage de la volonté des Etats membres - et singulièrement de la future Présidence suédoise - de voir, grâce au Traité de Lisbonne, l'Union européenne répondre de manière plus démocratique et plus efficace aux préoccupations des citoyens et aux défis liés à l'élargissement.
(Vous avez souligné le fait que c'est un futur pays président du Conseil qui a ratifié le traité. Il y aura avant la Présidence de la République tchèque. Est-ce que vous exercez une forme de pression amicale sur les Tchèques pour qu'ils ratifient ce traité le plus rapidement possible ? C'est assez peu probable qu'ils réussissent à le faire avant le 1er janvier. Alors comment voyez-vous cette présidence exercée par un pays qui n'aura pas ratifié le traité ?)
Nous considérons que notre travail de Présidence s'arrête le 31 décembre et doit consister à favoriser la reprise de cette Présidence par la République tchèque. Nous travaillons dans la configuration du trio, c'est-à-dire la présidence actuelle et les deux présidences à venir de façon très régulière. Par ailleurs, nous travaillons aussi régulièrement en troïka qui implique la Présidence tchèque à venir. Nous sommes sereins sur le fait qu'il y aura effectivement une Présidence tchèque qui saura assumer pleinement ses responsabilités. Le fait que nous nous félicitions de cette ratification par la Suède n'est pas une pression exercée sur la dynamique en République tchèque. Laissons le processus en République tchèque suivre son cours.
Diplomacia portuguesa. Questões da política externa. Razões de estado. Motivos de relações internacionais.
24 novembro 2008
Suécia ratificou Tratado UE. Nem uma palavra oficial de Lisboa
MAIS UM Para muitos não é já novidade, a Suécia ratificou o novo Tratado UE a que se associa o nome de Lisboa. Mas nem uma palavra oficial das Necessidades (oficiosa há tantas como chapéus) nem da Cova da Moura, aqui, certamente, pela trabalhosa ida a Castelo Branco. Em todo o caso, o Quai d'Orsay preencheu a lacuna já no dia 21:
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